Cette nouvelle étude fait apparaître :
-    une forte inertie de la photographie sociale des territoires ;
-    pour les territoires qui se sont fragilisés, des signaux de fragilisation :
 * pour les territoires les plus ruraux : une croissance démographique très forte, allant de pair avec une reconfiguration sociale,
 * pour les petits pôles urbains : une moindre croissance de la population et une évolution défavorable du chômage, particulièrement chez les jeunes,
 * pour les moyens pôles urbains : à la fois une moindre croissance et moindre tertiarisation de l’économie,
 * pour les grands pôles urbains : une périurbanisation moins avancée, une économie productive et des fonctions métropolitaines supérieures moins développées,
 -   dans territoires urbains qui se sont fragilisés une sous-dotation en équipement ;
 -   pour  les territoires qui se sont "défragilisés" (périrubains ou le long des axes routiers) : ils se démarquent par la situation de leurs jeunes, qui sont plus diplômés, plus qualifiés et moins souvent au chômage.
  
            
          



                                    
                                    
                                    
                                    